◄ Question N°29 - Entretien d'embauche : Lisez-vous régulièrement la presse ?

. 11/30/2011
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Lisez-vous régulièrement la presse ?

« Dites-moi ce que vous lisez et je vous dirai qui vous êtes »… telle pourrait être la devise des recruteurs qui posent cette question. Pour d’autres, il s’agit aussi de vérifier vos sources d’information. Dans tous les cas, il est préférable de lire la presse, au moins un quotidien et éventuellement quelques news magazines, vous montrerez ainsi votre esprit d’ouverture et puisque vous êtes réellement en recherche d’emploi, vous êtes quand même sensé lire certains titres pour les petites annonces !
Indiquez quelques journaux et magazines (dont vous connaissez le prix et le jour de parution au cas où le recruteur voudrait vérifier vos dires) mais faites attention à la connotation politique de certains titres. En citant l’Express, le Monde, les Échos ou la Tribune, vous ne prendrez aucun risque. En revanche le Figaro ou Marianne sont déjà plus marqués. Et si vous affirmez lire l’Huma, il faudra assumer votre choix… et éviter de candidater pour un poste dans une salle de marché ! Enfin, n’oubliez pas de citer la presse professionnelle du secteur dans lequel vous postulez. Si vous recherchez un emploi dans l’informatique, par exemple, on ne vous pardonnera pas de ne pas lire au minimum 01 Informatique et le Monde informatique.

Les réponses à éviter

Débordé
► " Non, je n’ai pas tellement le temps. "
Désabusé
► " Non, vous savez les journalistes… "

Des réponses possibles

► " Oui, je suis abonné(e) à Libération et chaque matin, je lis le journal pour m’informer de l’actualité. "
► " Je suis un gros lecteur de presse magazine essentiellement. Chaque semaine, je lis l’Expansion, le Nouvel conomiste, l’Express, le Nouvel Observateur… "
► " Je ne lis pas la presse de manière attentive tous les jours, mais le Monde assez souvent. En revanche, j’essaie de ire toutes les revues qui concernent mon secteur d’activité. "
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◄ Question N°30 - Entretien d'embauche : Vous intéressez-vous aux nouvelles technologies de l’information ?

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Vous intéressez-vous aux nouvelles technologies de l’information ?

Ou si vous préférez : « avez-vous un accès à Internet ? » ou « avez-vous un e-mail ? », voilà le sens de cette question de plus en plus présente dans les entretiens de recrutement. À l’heure où nombre d’entreprises recrutent via Internet et où il devient possible de déposer directement son CV sur le réseau des réseaux, il est impensable de ne pas savoir l’utiliser, surtout si vous sortez de l’université après un bac+4 ou bac+5 (vous êtes sensé avoir effectué des recherches dans le cadre de vos études) ou d’une grande école de commerce et d’ingénieurs disposant toutes ou presque d’un site web. Si vous possédez un e-mail personnel, vous avez intérêt à l’indiquer sur votre CV. De fait, le recruteur ne vous posera peut-être même pas la question, tant la réponse sera évidente !

Les réponses à éviter

Coupé du monde
► " C’est-à-dire ? Que voulez-vous dire par nouvelles technologies de l’information ? "

Des réponses possibles

► " Oui, ça me passionne même. J’ai un accès à Internet chez moi, et j’utilise tous les jours mon e-mail pour communiquer aussi bien de manière professionnelle qu’avec mes ami(e)s. "
► " Oui, d’ailleurs, pour ma recherche d’emploi, je consulte de nombreux sites qui proposent des offres d’embauche comme www. letudiant.fr par exemple. "
► " Oui, c’est même devenu un réflexe chez moi, quand j’ai besoin d’une information, de consulter d’abord le web. Souvent je trouve ce que je cherche et je gagne du temps. "
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◄ Question N°31 - Entretien d'embauche : Possédez-vous un ordinateur personnel ?

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Possédez-vous un ordinateur personnel ?

Inutile de paniquer si vous n’êtes pas équipé d’un pôle bureautique à la maison. Naturellement si vous êtes ingénieur informatique, le recruteur risquera de trouver cela pour le moins insolite, sinon, personne ne vous en tiendra rigueur.
Posséder un micro révèle tout simplement votre intérêt pour les nouvelles technologies et votre adaptation à votre époque. Si vous devez utiliser un ordinateur dans votre profession, le recruteur pourra espérer que vous maîtrisez déjà quelques logiciels et… que vous puissiez, le cas échéant, amener du travail à la maison.
Évitez en tout cas de bluffer sur cette question, car le recruteur s’en apercevra très vite : vous aurez l’air bête lorsqu’il faudra répondre à des questions du type : « sur quels logiciels travaillez-vous ? » ou « savez-vous utiliser les macros sur Excel ? ».

Les réponses à éviter

Lunaire
► " Un quoi ? "

Des réponses possibles

Vous ne possédez pas d’ordinateur personnel
► " Non et je le regrette beaucoup. L’achat d’un ordinateur fera sans aucun doute partie de mes premiers investissements dès que je commencerai à travailler. "

Vous possédez un ordinateur personnel
► " Oui, je dispose d’un PC avec un processeur Pentium 2, équipé de Windows 98 / d’un Macintosh Power PC 4100. "
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◄ Question N°32 - Entretien d'embauche : Quelles sont vos qualités ?

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Quelles sont vos qualités ?

Aucun piège ne se dessine derrière cette question pratiquement incontournable lors des entretiens et que vous pouvez retrouver sous différentes formes : « quels sont vos points forts ? », « avez-vous des valeurs morales ? » ou encore « qu’est-ce que vous aimez le plus ? ». Le recruteur attend surtout en retour une certaine honnêteté intellectuelle et une capacité à réfléchir sur vous-même. Pour préparer , vous pouvez toujours faire le tour de vos relations (parents, ami(e)s, et pourquoi pas vos professeurs) en leur demandant ce qu’elles pensent de vous.
Restez sur le terrain professionnel. Leurs réponses vous fourniront une base de travail, mais gardez toujours à l’esprit que les qualités qui intéresseront le recruteur sont celles qui seront le plus en adéquation avec le poste proposé. Si vous briguez un poste de financier, évitez de dire que vous manquez de rigueur ! Rien ne sert d’annoncer que vous êtes un fin gourmet si vous recherchez un emploi dans le BTP. En revanche, ce trait de votre personnalité peut éventuellement être un atout dans l’agroalimentaire (à condition de bien le vendre). Attention également au retour de bâton : une qualité peut aussi devenir un défaut selon le type de mission. Être très curieux par exemple est plutôt positif si vous envisagez de devenir journaliste, mais une vraie calamité si vous postulez dans l’armée !
Des qualités pour un poste précis. Pour répondre le mieux possible à cette question, vous devez avant tout étudier l’offre d’emploi afin de déterminer quelles sont les qualités les plus adaptées au profil recherché. Si vous souhaitez devenir secrétaire, on vous pardonnera difficilement de ne pas affirmer spontanément que vous êtes très organisée, même si ça vous paraît évident. Par ailleurs, n’oubliez jamais que capacité d’adaptation, disponibilité et polyvalence restent des qualités très appréciées, quel que soit le travail auquel vous postulez. D’une manière générale, pensez à illustrer vos propos par des exemples précis ou des situations concrètes que vous aurez puisés dans votre expérience.

Les réponses à éviter

Passe-partout
► " Je suis dynamique et très motivé(e) ", c’est le minimum que l’on puisse attendre d’un candidat à l’emploi ! Si vous êtes réellement dynamique, prouvez-le par des actions telles que la prise d’initiatives, l’implication dans un projet ou encore le déblocage d’une situation.

Des réponses possibles

Il n’est pas facile d’avoir l’air modeste lorsqu’on s’envoie des fleurs. Pour rester neutre, commencez vos phrases par « on dit de moi que je suis… », « on me reconnaît des qualités de… », etc. Évitez également l’utilisation d’adverbes tels que « peu » ou « très », qui indiquent justement que vous êtes « peu sûr » ou « très sûr » de vous.
► " Je n’ai certes pas encore beaucoup d’expérience, mais ça ne m’empêche pas d’être quelqu’un de mature. En tout cas, j’ai apprécié d’avoir eu des responsabilités durant mes stages et d’avoir pu montrer mes compétences. "
► " Je pense avoir le contact facile. En tout cas, lorsque je suis en société, je n’ai aucun problème pour lier connaissance avec des personnes que je ne connais pas. "
► " Je suis quelqu’un d’enthousiaste. Je me passionne pour ce que je fais et en général, je fédère les gens qui m’entourent. C’est, en tout cas, ce que j’ai eu l’occasion de constater dans le cadre familial et amical et également au cours de mes stages. "
► " Je sais prendre du recul. En tout cas, je parviens assez facilement à avoir une vision d’ensemble sur un projet et à définir précisément quels vont être les points forts et les points faibles. "
► " Je suis consciencieux(se). J’aime que le travail soit bien fait et s’il le faut, j’y consacre le temps nécessaire, quitte à travailler un peu plus tard le soir. "
► " Je suis réactif(ve) et organisé(e). Lorsque j’ai beaucoup de travail, j’arrive assez facilement à établir une liste des priorités afin de régler les problèmes un par un et surtout d’éviter de prendre du retard. "
► " Je sais prendre des décisions quand les situations l’exigent. En tout cas, j’ai assumé ce rôle sans difficulté lorsque j’étais président(e) du BDE (bureau des élèves), car c’est moi qui devais trancher à chaque fois qu’un problème se présentait. "
► " La polyvalence est ma principale qualité. J’aime beaucoup découvrir des choses nouvelles et diversifier mon horizon. Je n’ai rencontré jusqu’ici aucun problème pour m’adapter à des situations ou des personnes différentes ou travailler sur plusieurs projets en même temps. "
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◄ Question N°33 - Entretien d'embauche : Quels sont vos défauts ?

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Quels sont vos défauts ?


Devant cette question, tous les candidats aimeraient déclarer : « je n’ai pas envie de parler de mes défauts ». Mais comme c’est impossible, il faut bien trouver quelque chose à répondre. « En fait, il faut souvent avoir derrière soi plusieurs années d’expérience pour se connaître professionnellement et ainsi savoir quels sont ses points faibles », souligne Marion Debuire, consultante chez MG Advantis.
Si vous êtes jeune diplômé, vous devez donc vous projeter dans le futur (ce qui vous évitera déjà de répéter inutilement ce que votre entourage dit de vous depuis votre plus jeune âge). En fait, pour vous, il s’agit d’éviter de répondre par mégarde à la question suivante : « quels sont les défauts qui pourraient nuire à ce poste ? ». Si vous êtes désordonné par exemple et postulez un emploi de documentaliste, vous n’êtes pas sur la bonne voie ! Il en va de même si vous êtes sédentaire alors que le poste exige de nombreux déplacements…
Dans tous les cas, vous ne pouvez pas maîtriser toutes les données du poste et de son environnement. « Il existe parfois des mots-clés qui éliminent d’office le candidat qui les prononce », indique un recruteur. Si vous annoncez par exemple : « je suis susceptible », et que votre éventuel futur directeur est très caustique, vous aurez certainement du mal à travailler avec lui. Quoi qu’il en soit, mieux vaut toujours présenter les informations sous un angle positif. Dites « je suis trop rigoureux(se) » plutôt que « je n’aime pas le laxisme », « je suis jusqu’au-boutiste » plutôt que « je suis entêté(e) » ou encore « je suis perfectionniste » plutôt que « je suis maniaque », etc. Par ailleurs, soyez honnête avec vous-même et évitez d’annoncer comme défaut une simple qualité exacerbée du genre : « je suis trop franc(he) » ou encore « je suis trop dynamique ».
Un recruteur peut vous demander de lui citer trois défauts (en général il exigera aussi trois qualités). Il est donc toujours préférable de préparer une liste pour ne pas sécher bêtement sur le troisième. À l’inverse, il peut aussi vous demander : « quel est votre défaut / qualité principal(e) ? ».
Enfin, essayez toujours de terminer par une note positive. Gardez à l’esprit qu’un défaut que l’on combat finit par devenir un atout puisque vous en avez pris conscience. Si vraiment aucun défaut ne vous vient à l’esprit, vous pouvez répondre sur le chapitre de vos compétences en précisant ce qu’il vous faudra améliorer pour exercer le poste, tout en prenant le risque que le recruteur décèle votre subterfuge.

Les réponses à éviter

Banal
► " J’ai les défauts de mes qualités et les qualités de mes défauts. "
► " Je suis tenace jusqu’à l’entêtement. "
► " Exigeant(e) avec moi-même, je le suis également avec les autres. "
► " Ma grande franchise m’a parfois joué des tours. "
► " Mon enthousiasme me pousse parfois à l’excès. "
Prétentieux
► " Mes défauts sont minimes par rapport à mes qualités. "
À prouver
► " Je ne pense pas avoir de défauts majeurs. "

Des réponses possibles

► " On dit de moi que je suis un(e) grand(e) bavard(e), mais en fait, c’est chez moi une façon d’amener les autres à parler d’eux. "
► " On me dit souvent que j’ai tendance à être dirigiste, mais j’essaie de compenser en discutant avec mes collègues avant de prendre une décision. "
► " J’ai conscience de mon manque de répartie mais j’essaie de m’améliorer en participant à des discussions animées entre amis. "
► " Je manque encore d’assurance mais je pense que ma timidité est due à mon manque d’expérience. En effet, lorsque je commence à me sentir bien dans un groupe, je suis capable de m’investir et de faire des propositions. "
► " J’ai un problème avec le temps. Il m’arrive d’être en retard à un rendez-vous ou de prolonger une réunion. Mais j’en ai conscience, je fais de gros efforts et je crois avoir déjà bien progressé. "
► " J’ai encore des difficultés pour m’exprimer parfaitement en anglais, même si je peux suivre une conversation ; mais je tente d’améliorer ma pratique, notamment lors de séjours à l’étranger. "
► " Ma connaissance d’Excel est moins approfondie que celle de Word, mais je possède un ordinateur personnel sur lequel je m’entraîne régulièrement. "
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◄ Question N°34 - Entretien d'embauche : Quelle est votre principale caractéristique ?

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Quelle est votre principale caractéristique ?

Le recruteur peut aussi vous demander : « Quelle est votre tendance générale ? / votre dominante ? / le trait principal de votre personnalité ? ». Si vous annoncez sans hésitation : « je suis un manager avant tout », « je suis juriste dans l’âme » ou encore « ce que j’aime par-dessous tout dans mon métier, c’est l’aspect relationnel », le recruteur reconnaîtra en vous le spécialiste, plutôt doué dans son domaine. En revanche, si vous ne comprenez pas la question ou si vous hésitez avant de répondre, votre comportement révélera plutôt une personnalité touche-à-tout et un esprit ouvert. Dans les deux cas, votre attitude peut être perçue de manière positive ou négative, tout dépend des qualités requises pour le poste à pourvoir.

Les réponses à éviter

Mal préparé
► " Je ne comprends pas votre question. "

Des réponses possibles

Vous vous sentez polyvalent(e)
► " Je me considère plutôt comme quelqu’un de polyvalent, capable de mener un projet de manière autonome, mais aussi de participer à une réalisation collective. Mes goûts sont aussi très éclectiques, j’aime les matières scientifiques, mais je ne déteste pas pour autant la littérature ! "

Vous vous reconnaissez des caractéristiques
► " Je pense être quelqu’un d’énergique et de dynamique. Lorsqu’il faut régler un problème ou mettre les bouchées doubles pour terminer un dossier, je réponds présent(e). C’est sans doute ce qui me caractérise le plus. "
► " On m’a souvent dit que j’avais de bonnes qualités relationnelles, c’est surtout, je crois, ce qui me caractérise. "
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◄ Question N°35 - Entretien d'embauche : Que pourriez-vous améliorer dans votre personnalité ?

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Que pourriez-vous améliorer dans votre personnalité ?

Vous avez déjà présenté vos défauts et vos qualités… et voilà que vous n’êtes pas encore au bout de votre autocritique ! Cette fois le recruteur veut tester votre humilité et votre capacité à vous remettre en question : avez-vous réellement conscience de vos lacunes et êtes-vous prêt à y remédier ? Sur cette question, vous pouvez répondre en citant un défaut ou une compétence, sachant qu’il est plus facile d’améliorer une compétence… qu’un défaut. Là encore, pensez toujours au poste à pourvoir et ne donnez pas au recruteur une information rédhibitoire !

Les réponses à éviter

Modeste
► " Oh… pas grand-chose, je suis parfait(e). "

Des réponses possibles

► " Je pense pouvoir améliorer mon anglais. "
► " Je ne suis peut-être pas assez extraverti(e). Dans un groupe, j’écoute plus que je ne parle, on me trouve ainsi plutôt réservé(e), ce qui n’est pas le cas. Je devrais m’exprimer davantage. "
► " Quand je n’aime pas quelqu’un ou que je n’apprécie pas une situation, cela se voit immédiatement sur mon visage. Or, cela pourrait me rendre service parfois d’être moins émotif(ve). "
► " Je ne lis pas assez et c’est un tort. Mais j’ai l’intention de prendre des abonnements à divers magazines. "
► " Je suis trop direct(e) et je me suis déjà rendu compte que les gens n’appréciaient pas forcément mes réparties… "
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◄ Question N°36 - Entretien d'embauche : Estimez-vous avoir de la chance ?

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Estimez-vous avoir de la chance ?

Ou plutôt : « vous considérez-vous responsable de ce qui vous arrive ? ». Voilà exactement ce qui intéresse le recruteur dans cette question. Du moins, dans un premier temps… car juste après, une deuxième question lui viendra à l’esprit : « pourquoi pensez-vous que ce qui vous arrive puisse être (ou ne pas être) lié à la chance ? ». Dans l’univers professionnel, il est plutôt bien vu d’être né sous une bonne étoile… à condition de ne pas en profiter d’une manière insolente ! Il faut reconnaître avoir bénéficié de la chance à certains moments de votre vie (l’optimisme est très apprécié), sans pour autant affirmer que tout vous tombe du ciel. Et dans tous les cas, pensez à préparer des exemples précis au cas où le recruteur voudrait en savoir plus.

Les réponses à éviter

Fataliste
► " Non, je n’ai jamais rien gagné dans ma vie et ce sera toujours comme ça ! "
Déprimé
► " En principe oui, mais ces temps-ci, je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’ai vraiment pas de bol. "
Parano
► " Non pas vraiment, en général quand il y a un problème, c’est sur moi que ça tombe ! "
Persécuté
► " On ne peut pas dire que j’en ai eu depuis ce matin. D’abord, mon réveil n’a pas sonné, je me suis donc réveillé(e) en retard. Parti(e) alors en courant, j’ai quand même raté le bus. J’ai donc attendu le suivant qui est arrivé en retard et bondé ! Comme j’avais mal lu sur le plan la route pour venir, je me suis trompé(e) d’arrêt et j’ai dû marcher
vingt minutes sous la pluie, etc. "

Des réponses possibles

► " Je dirais que j’ai plutôt bénéficié d’opportunités que de chance. "
► " Je ne sais pas si j’ai réellement de la chance, j’essaie en tout cas de la provoquer. "
► " Jusqu’à présent je ne me suis pas trop mal débrouillé(e) dans mes études et dans ma carrière, en partie grâce à la chance ou plutôt à certaines opportunités que j’ai su saisir. "
► " Si je prends certains événements du bon côté, je dirais que la chance a parfois joué dans ma vie, mais ça ne marche pas à tous les coups… et heureusement d’ailleurs."
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◄ Question N°37 - Entretien d'embauche : Etes-vous ambitieux(se) ?

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Etes-vous ambitieux(se) ?

Personne ne répond par la négative à cette question ! Mais ce qui intéresse le recruteur, c’est de mesurer le degré de votre ambition. Il ne se contentera pas de , mais vous demandera sûrement ensuite : « comment définiriez-vous l’ambition ? » ou « qu’est-ce qu’un ambitieux, selon vous ? ».
S’il vous pose cette question, c’est sûrement parce que le poste à pourvoir est évolutif, qu’il s’agisse d’assumer des responsabilités ou d’encadrer une équipe, dans un contexte difficile. Pour répondre, vous devez démontrer votre ambition au travers des sacrifices et efforts que vous avez fournis pour arriver là où vous êtes. « Le vrai ambitieux est quelqu’un de très actif et ses actes le prouvent, le faux ambitieux claironne beaucoup, mais agit moins », souligne Jean-Pierre Stalla, directeur associé du cabinet Rohde & Partner.

Les réponses à éviter

Insolent
► " Oui, bien sûr. Pourquoi, pas vous ? "
Pantouflard
► " Ben, oui, mais pas trop vite. Évoluer, ça oblige aussi à prendre des responsabilités… "
Pressé
► " Oui, je me suis fixé(e) comme objectif d’être responsable d’équipe dans six mois, sinon je cherche un autre emploi. "
Serial killer
► " Absolument, je suis ambitieux et je ne m’en cache pas. Dans la vie, ceux qui n’avancent pas reculent et c’est tant pis pour eux. Moi, j’ai l’intention d’arriver et je m’en donnerai les moyens. "

Des réponses possibles

► " Je pense être quelqu’un d’ambitieux. J’ai accepté un premier poste dans une région de l’est de la France avec l’objectif ensuite de pouvoir intégrer le siège parisien du groupe. "
► " Oui, je crois. En tout cas, je mets tout en oeuvre pour trouver un emploi à la mesure de mon ambition. Je recherche un poste qui me permettra de pratiquer couramment l’espagnol et je me déplace pour des entretiens qui se déroulent aussi bien en France qu’en Espagne. "
► " Je pense être ambitieux(se). Je crois que le fait d’être parti(e) pendant trois mois l’été dernier aux États-Unis pour ivrer des pizzas, dans le but avant tout d’améliorer mon anglais, en est une illustration. "
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◄ Question N°38 - Entretien d'embauche : Qu’est-ce qui vous fait avancer dans la vie ?

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Qu’est-ce qui vous fait avancer dans la vie ?

Avec ces questions, le recruteur veut tout simplement connaître vos principaux facteurs de motivation. Ces derniers peuvent être très nombreux : l’argent, le pouvoir, la prise de responsabilités, l’accomplissement intellectuel, une meilleure connaissance d’un secteur, la reconnaissance sociale, la qualité de la vie, l’appartenance à un grand groupe, la possibilité d’apprendre quelque chose, la réalisation de projets motivants, etc. Peu importent finalement ceux qui vous concernent, ce qui intéressera surtout le recruteur c’est l’ordre dans lequel vous allez les classer. Il aura ainsi une idée très précise de vos priorités professionnelles… qui ne doivent quand même pas être trop éloignées du poste à pourvoir !
Si vous postulez un emploi de cadre commercial, par exemple, le recruteur ne sera pas choqué d’apprendre que votre première motivation est de gagner de l’argent. À noter qu’un recruteur peut aussi obtenir le même type de réponse en vous demandant : « comment définiriez-vous la réussite ? » ou encore « qu’est-ce qui vous motive ? ».

Les réponses à éviter

Spirituel
► " Ma voiture. "
Frimeur
► " Je veux travailler dans une entreprise connue qui fabrique des produits de marque. "

Des réponses possibles

Faites très attention à , elle doit être en liaison avec l’entreprise dans laquelle vous postulez. S’il s’agit d’une PME qui ne peut pas vous offrir un salaire très important, évitez de dire que vous souhaitez avant tout gagner de l’argent. Si, à travers le discours du recruteur, vous avez compris que le poste n’est pas évolutif, n’insistez pas sur votre désir de progression, etc.
Apprendre : " Ce que j’aime avant tout, c’est inventer de nouvelles choses. "
Gagner de l’argent : " J’ai envie de bien gagner ma vie. "
Le goût pour les produits de la marque : " J’ai envie de travailler pour une entreprise dont j’aime les produits. "
Prendre des responsabilités : " Le fait de pouvoir s’impliquer de A à Z dans un projet."
Être épanoui(e) : " La possibilité d’instaurer un échange entre ce que j’apporte à l’entreprise et ce qu’elle peut m’apporter. "
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◄ Question N°39 - Entretien d'embauche : Quel est votre signe astrologique ?

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Quel est votre signe astrologique ?

Bienvenu au royaume de l’irrationnel avec cette question ! Il en existe bien d’autres du même acabit. Certains chefs d’entreprise ont leur marotte et s’ils pensent que les « Cancer » ont l’esprit de contradiction, vous ne les ferez pas changer d’avis. Face à ce genre de question, vous ne pouvez qu’annoncer la vérité et advienne que pourra. Un petit indice cependant : si le recruteur vous la pose, c’est qu’il y attache de l’importance. Évitez donc d’avoir l’air surpris ou ironique et répondez le plus naturellement possible.

Les réponses à éviter

Méfiant
► " Je suis du signe du Verseau. Mais ça a une importance pour le poste ? "
Défaitiste
► " Si je vous dis que je suis Bélier, vous n’allez pas trouver ça bien, c’est ça ? "

Des réponses possibles

Dire la vérité, sans autre commentaire
► " Je suis du signe du Lion ", " Je suis du signe de la Vierge ", etc.
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◄ Question N°40 - Entretien d'embauche : Fumez-vous ?

. 11/27/2011
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Fumez-vous ?

Si l’on vous pose la question, ce n’est pas pour vous offrir une cigarette… mais bien au contraire, parce que beaucoup de patrons sont las d’arbitrer dans leur entreprise les débats entre fumeurs et non-fumeurs. Dans la majorité des cas, pour éviter les ennuis, l’entreprise préfère embaucher un non-fumeur (à moins de postuler dans une PME où tout le monde fume). Il est bien entendu que ce critère n’est pas primordial lors du recrutement ; il serait donc inutile de mentir tout en sachant que si vous êtes complètement dépendant de la cigarette, vous aurez forcément beaucoup de mal à travailler dans cette entreprise. En tant que fumeur raisonnable, répondez en indiquant votre consommation et en montrant votre bonne volonté face aux non-fumeurs. De toute façon, le recruteur n’hésitera pas à être très clair sur la politique de l’entreprise concernant l’usage de la cigarette.

Les réponses à éviter

Avide, voire en manque
► " Ah oui, merci ! "

Des réponses possibles

Vous fumez :
► " Oui, je fume en moyenne dix cigarettes par jour, mais je travaille actuellement dans un bureau non fumeur et je fume principalement le soir, à mon domicile. "

► " Oui, mais j’envisage sérieusement d’arrêter. ", etc.

Vous ne fumez pas :
► " J’ai arrêté voici deux ans. » / « Je ne fume plus. » / « Je n’ai jamais fumé. ", etc.
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◄ Question N°41 - Entretien d'embauche : Pourquoi avez-vous choisi cette formation ?

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Pourquoi avez-vous choisi cette formation ?

Lorsque l’on choisit de s’engager dans une filière, c’est principalement par réelle vocation (10 % des candidats selon les recruteurs), inclination personnelle (si vous détestez les maths, vous n’irez pas vous inscrire en DEUG de sciences) ou après avoir écouté les parents et les copains. En posant cette question, le recruteur cherchera donc à cerner vos motivations et les événements extérieurs qui ont guidé vos choix tout au long de vos études. Le problème, c’est que vos réponses peuvent être diversement interprétées.
Avoir une vocation, c’est plutôt bien perçu (vous faites preuve de cohérence et de détermination)… mais cette précocité peut cacher un manque de remise en question, surtout si vous marchez sur les pas de votre père ou de votre grandpère. Si vous avez découvert un métier au cours de vos études, vous vous êtes spécialisé ou réorienté après votre diplôme, le recruteur voudra savoir si vous êtes aujourd’hui mature et sûr de votre choix. La façon dont vous avez choisi une formation est aussi un révélateur de votre personnalité : « aviez-vous pris des renseignements sur la filière avant de l’intégrer ? », « êtes-vous quelqu’un de terrain ou préférez-vous étudier ? ». Le recruteur peut relier à celles concernant les questions sur vos qualités et vos défauts et essayer de définir ainsi votre mode de fonctionnement.
Enfin, les recruteurs apprécient en général les candidats qui défendent les couleurs de leur filière avec passion, car il s’agit souvent de profils qui ont vécu (et non subi !) leurs études.

Les réponses à éviter

Banalissime
► " Tout(e) petit(e) déjà, je démontais et réparais le magnétoscope… "
Papamadit
► " Mes parents m’ont conseillé de suivre des études de secrétariat, car on aura toujours besoin de secrétaires. "
Rebelle
► " Je n’ai surtout pas voulu faire la même chose que mon père. "
Raisonnable
► " En préparant un diplôme d’ingénieur, on est assuré de trouver un travail. "

Des réponses possibles

Vous avez un parcours balisé
► " J’ai toujours préféré les matières scientifiques et après le bac, je me suis orienté(e)
tout naturellement vers une école d’ingénieurs. À l’époque, j’avais discuté avec plusieurs personnes qui exerçaient cette profession et j’avais aimé l’aspect technique de la fonction ainsi que la diversité des missions que peut remplir un ingénieur. De plus, j’avais envie d’exercer un métier à responsabilités. "


Vous avez suivi vos études par hasard

► " J’ai suivi cette filière par intérêt pour les langues et dans l’idée d’être traductrice, mais au cours de ma deuxième année de formation, j’ai découvert avec intérêt les possibilités de débouchés dans le tourisme. "
► " Après le bac, n’ayant pas de projet professionnel défini, je me suis inscrit(e) en fac de droit par hasard, mais très vite je me suis passionné(e) pour le droit des affaires et au terme de différents stages, j’ai eu la confirmation que c’était dans cette voie qu’il fallait que je m’engage. "
 
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◄ Question N°42 - Entretien d'embauche : Que pensez-vous de votre formation ?

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Que pensez-vous de votre formation ?

En posant cette question, le recruteur veut savoir si vos attentes ont été satisfaites et surtout, ce que vous avez retenu de vos deux à cinq années de formation. « En général, les candidats soulignent spontanément ce qui les a le plus marqué, qu’il s’agisse de la pédagogie, de leurs stages, de l’ambiance de la promo ou encore de leur implication dans la vie associative », indique un recruteur. « Et la pire des réponses consiste justement… à ne pas répondre, car si un étudiant est incapable de parler de sa filière, c’est souvent qu’il a mal vécu son cursus », poursuit-il. Veillez à mettre en évidence les points positifs, même si votre diplôme n’est pas toujours très bien perçu sur le marché du travail.
Sur cette question, un recruteur peut aussi tester votre esprit critique : êtes-vous capable d’avoir un point de vue objectif et de proposer par exemple des améliorations. Pas facile quand on sort tout juste de l’école ! Et puis, d’une manière plus générale, le recruteur récupère ainsi des informations sur la formation. Des données qu’il peut regrouper avec d’autres témoignages ou comparer avec son propre avis. Notez que pour certaines professions, la manière dont vous défendez votre formation peut aussi être révélatrice : « lorsque j’interroge un profil commercial, j’attends de voir comment le candidat va s’y prendre pour me vendre son école de commerce ! », indique Guillaume Verney-Carron, dirigeant du cabinet Personalis.

Les réponses à éviter

Naïf
► " Mon école est la mieux placée sur ce secteur. "
Déçu
► " La réputation de cette école n’est pas à la hauteur de son niveau. "

Des réponses possibles

Vous êtes satisfait de votre formation
► " Les cours de la formation se déroulent sous forme de séminaires ou de travaux de groupe, ce qui renforce l’esprit d’équipe et permet à chacun d’apprendre à s’exprimer en public et à défendre son point de vue. Je crois que c’est l’un de ses points forts. Pour le reste, cette filière a tout à fait correspondu à mes attentes. "
► " J’ai volontairement choisi une école généraliste car j’avais envie de suivre des cours dans différents domaines, afin de ne pas me spécialiser trop vite. En ce sens, j’ai particulièrement apprécié la qualité de l’enseignement. Et c’est en fait au travers de mes stages que j’ai découvert l’aspect concret du métier. Je pense que le fait d’alterner théorie et pratique m’a donné une grande ouverture d’esprit et m’a permis de bien définir mon projet professionnel. "

Vous n’êtes pas satisfait
► " J’ai été, il est vrai, un peu déçu(e) par ma formation. Je pense que l’aspect pratique est très bien mis en valeur dans la mesure où les stages sont nombreux et variés. De plus, les liens avec le monde professionnel sont très étroits. En revanche, j’aurais souhaité, sur le plan théorique, bénéficier de cours d’initiation à l’encadrement et à la prise de responsabilités. Par ailleurs, nous avons pu assister, une fois dans l’année, à une conférence animée par un cadre d’une grande entreprise, et je pense qu’il aurait été intéressant que notre école puisse renouveler ces interventions. "
► " Je dois reconnaître que le niveau de ma formation n’a pas été à la hauteur de mes attentes. Cette filière reste, selon moi, beaucoup trop axée sur la vente et le marketing. Très rapidement, je me suis rendu compte qu’il me faudrait combler certaines lacunes, notamment en gestion. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu compléter mon cursus par un
troisième cycle en gestion, avant de m’engager dans la vie active. Aujourd’hui, je pense que ma double compétence constitue en fait un atout qui peut intéresser des employeurs. "
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◄ Question N°43 - Entretien d'embauche : Et si c’était à refaire ?

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Et si c’était à refaire ?

Le recruteur peut vous poser cette question s’il a un doute sur vos réponses concernant le choix de votre formation. Dans une autre variante, il peut aussi vous demander : « Êtes-vous content(e) d’avoir suivi cette filière ? ». Dans les deux cas, son objectif est le même : vérifier la cohérence de vos propos.

Les réponses à éviter

Suicidaire
► " Surtout pas ! "
Hésitant

► " Je ne sais pas… tout dépend des circonstances… mais c’est vrai qu’à l’époque, je ne savais pas tout… "
► " Alors ça, c’est une bonne question ! En fait, j’n’en sais rien. » • « Tout dépend si je trouve rapidement du travail ou pas. "

Des réponses possibles

Vous avez déjà montré que votre formation vous a déçu(e)
► " Je pense que je me suis mal orienté(e) après mon bac, mais c’est vrai qu’à l’époque je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard. Aujourd’hui, avec le recul, je pense que j’aurais pu gagner du temps dans mes études. Mais je ne regrette pas non plus mes choix de l’époque. "
► " Je pense effectivement que je n’ai pas choisi la meilleure orientation. Mais pour autant je n’estime pas avoir perdu mon temps. Ma formation m’a apporté beaucoup, simplement il est vrai que j’ai dû approfondir certaines choses – et notamment les langues – par moi-même. "


Vous avez déjà montré que vous avez apprécié votre formation
► " Sans aucune hésitation. "
 
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◄ Question N°44 - Entretien d'embauche : Comment expliquez-vous votre cursus décousu ?

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Comment expliquez-vous votre cursus décousu ?

Vous avez suivi une année de classe prépa, puis une année de fac, avant de partir au service militaire. De retour dans le civil, vous avez préparé un BTS, puis choisi d’intégrer ensuite une grande école. Aujourd’hui, vous êtes diplômé et prêt à décrocher un emploi mais… à chaque entretien, ça ne loupe pas, votre CV intrigue les recruteurs ! Et à chaque
fois, il vous faut combattre des à priori défavorables. Que faire dans ce cas-là ? Comment justifier d’une ou deux années de tâtonnement ?
Tout d’abord, ne haussez pas les épaules l’air désabusé, mais montrez surtout que vous vous attendiez à cette question. Ensuite, tirez partie de votre originalité en indiquant toujours ce que chaque expérience vous a apporté. C’est le même raisonnement qui s’applique si vous avez mis six ans pour obtenir une maîtrise. « Les candidats ont le droit de se tromper ou d’avoir pris tout simplement une année sabbatique, mais ils ne doivent pas le passer sous silence », ajoute Annie Pierson, directrice du cabinet Eurosélection. Ceci étant, ne soyez pas non plus trop naïf : ça ne fait pas très sérieux d’avoir suivi quatre années d’études pour se rendre compte que finalement il n’y avait pas de débouchés dans la filière !

Les réponses à éviter

Naïf
► " J’ai été largué(e) en fac, alors je me suis rabattu(e) sur un BTS. "
► " Vous savez bien, quand on est étudiant, on est plutôt insouciant. Disons que j’ai bien profité de mes études, mais aujourd’hui, j’ai enfin mon diplôme, je recherche donc du travail. "

Des réponses possibles

► " Je suis passionné(e) par la biologie et ma formation a réellement correspondu à mes attentes. Malheureusement, je me suis rendu compte que les débouchés n’étaient pas à la hauteur de mes espérances. Après mon DEUG, j’ai donc recherché une autre filière qui me plaisait avec des débouchés plus importants. "
► " Ce cursus est pour moi plus original que décousu. J’ai un peu tâtonné avant de trouver ma vocation, mais chacune de mes expériences m’a été profitable. À chaque fois, j’ai appris des choses dans différents domaines qui me sont très utiles. En deuxième année d’IUP information communication, j’ai trouvé un stage d’attaché(e) de presse dans une
entreprise d’électronique, en partie grâce à ma première année de DEUG sciences. Par la suite, c’est parce que j’avais fait un BTS diététique, avant d’intégrer l’IUP, que j’ai pu effectuer un deuxième stage, cette fois dans une agence de communication pour travailler sur une campagne de promotion d’aliments pour bébés. "
► " Je sais bien qu’avoir suivi des études de comptabilité, après une année de médecine et une année de DEUG d’histoire, ne paraît pas très cohérent. Mais après le bac, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard. J’ai donc commencé par la médecine, car j’avais des amis qui s’étaient inscrits dans cette filière. Très vite, j’ai été rebuté(e) par la biologie et je me suis orienté(e) en fac d’histoire, dans l’idée d’acquérir une culture générale assez vaste. Seulement, je me suis rendu compte que les débouchés de cette filière ne m’intéressaient pas. J’ai donc pris le taureau par les cornes et j’ai réfléchi concrètement à mon avenir professionnel. J’ai recherché un métier qui corresponde à ma
nature et la comptabilité semblait satisfaire mes attentes. Aujourd’hui je ne regrette pas mes hésitations, car elles m’ont donné une grande ouverture d’esprit, surtout la fac d’histoire. Par ailleurs, pour obtenir mon diplôme de fin d’études, j’ai fait un stage au service comptabilité d’un laboratoire pharmaceutique. Ma candidature les a intéressés car j’avais fait une année de médecine et je peux vous dire que mes quelques connaissances dans le domaine médical m’ont été très utiles. "
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◄ Question N°45 - Entretien d'embauche : Pensez-vous que votre formation soit en adéquation avec le métier auquel vous postulez ?

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Pensez-vous que votre formation soit en adéquation avec le métier auquel vous
postulez ?

Ne tombez pas dans le piège en affirmant que puisque vous avez suivi des études de droit, il est évident que votre avenir est d’être juriste ! Pour un candidat novice, cette question est délicate, car seuls ceux qui ont fait des stages en rapport avec la profession trouveront facilement des arguments pour répondre. En revanche, si vous avez passé deux mois au sein d’une entreprise à faire des photocopies et à apporter le café, ça se verra tout de suite. Pour bien appréhender cette question, vous devez présenter une réponse qui associe vos compétences techniques et vos qualités humaines, car ces deux aspects sont essentiels dans tout recrutement. Vous pouvez très bien être un as de l’acoustique, si vous êtes incapable de travailler en équipe, vous n’intéresserez personne !
Apprenez aussi à sonder votre interlocuteur. Il ne connaît pas nécessairement toutes les formations qui existent. Vous devez donc être capable de cerner très vite s’il connaît ou non votre filière pour voir s’il est utile de lui donner des précisions sur le contenu pédagogique. Tout l’art consiste, sur cette question, à citer parfois des évidences, sans
ennuyer le recruteur avec des propos déjà entendu maintes fois.

Les réponses à éviter

À prouver
► " Oui, j’ai fait des études de commerce / de communication, je suis donc fait(e) pour occuper un emploi de commercial(e) / chargé(e) de communication. "

Des réponses possibles

► " Il me semble que oui. D’une part, grâce à l’équipement informatique dont dispose l’école, je maîtrise parfaitement la CAO en 3 D et d’autre part, mes différents stages m’ont appris à m’intégrer au sein d’une équipe de techniciens et à travailler à plusieurs sur un même projet. "
► " La formation que j’ai suivie comporte des enseignements techniques conçus dans une optique internationale. Certains cours sont dispensés en anglais et la pratique d’une troisième langue est obligatoire. Quant aux stages, ils doivent se dérouler, pour deux d’entre eux, dans un pays de l’Union européenne. Par rapport au poste proposé, je crois
que l’association de la maîtrise d’une langue à une bonne connaissance du contexte culturel et professionnel d’un pays est un atout important. "
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◄ Question N°46 - Entretien d'embauche : Pourquoi arrêtez-vous vos études à ce stade ?

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Pourquoi arrêtez-vous vos études à ce stade ?

Vous vous êtes arrêté en licence ou en maîtrise, vous n’avez pas terminé votre formation : soyez sûr que le recruteur vous posera la question. « Surtout si je sens que le candidat a des capacités », indique un recruteur. Inutile de préciser qu’il faut éviter les constats d’échec et répondre de manière optimiste. Si déjà vous n’êtes pas maître de votre parcours étudiant, comment voulez-vous convaincre un recruteur de vous embaucher pour prendre des responsabilités ?
Indiquez toujours que vous avez choisi volontairement d’arrêter vos études et que vous êtes tout à fait prêt à les reprendre si vous ne trouvez pas de travail. Et pour être crédible, démontrez en quoi ce que vous avez appris vous sera très utile dans vos futures fonctions.

Les réponses à éviter

Maladroit
► " J’en ai marre de la fac et des petits boulots étudiants. Aujourd’hui, j’ai envie de gagner ma vie. "

Des réponses possibles

► " Ce que je fais à l’université me plaît beaucoup, mais je désire aujourd’hui aborder la vie professionnelle de manière très concrète. Je suis tout fait prêt(e) à suivre des cours du soir pour compléter mes connaissances si nécessaire. "
► " J’ai décidé d’arrêter mes études pour travailler. Ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas l’intention un jour de reprendre des études mais je pense que ce sera plutôt par le biais de la formation continue. "
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◄ Question N°47 - Entretien d'embauche : Envisagez-vous de reprendre un jour des études ?

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Envisagez-vous de reprendre un jour des études ?

Derrière cette question, le recruteur veut savoir si vous souhaitez évoluer et si vous êtes capable de faire preuve de courage pour vous investir complètement dans votre travail. Pour répondre, vous ne devez pas considérer que vos études constituent une fin en soi. Il faut toujours laisser entendre que vous êtes prêt en permanence à améliorer vos connaissances… sans pour autant tomber dans l’accumulation de diplômes ! Si vous envisagez notamment de suivre un troisième cycle, il faut que le diplôme soit en rapport avec votre formation et vous permette d’approfondir un domaine qui vous intéresse. À contrario, ne laissez pas entendre non plus que vous démissionnerez dans les trois mois pour retourner sur les bancs de la fac. Si vous possédez un BTS ou un DUT, vous devez montrer votre ambition, surtout si le recruteur insiste (car c’est souvent parce qu’il a décelé en vous un certain potentiel).

Les réponses à éviter

Dégoûté
► " Je sors de cinq ans d’études, alors pour moi les cours, les examens, c’est FI-NI ! "
Prétentieux

► " Ma formation me semble très complète et ne nécessite pas de poursuivre des études pour trouver un emploi. "

Des réponses possibles

► " J’essaie d’abord de trouver un emploi ; si je m’aperçois que ma formation ne correspond pas aux besoins des entreprises, alors je poursuivrai encore pendant une année afin de me spécialiser. "
► " J’ai vraiment envie d’arrêter les études et de travailler, je me donne donc deux à trois ans pour occuper un premier poste et ensuite, pourquoi pas, choisir de compléter ma formation par des cours du soir par exemple. "
► " À mon sens, rechercher un emploi ne signifie pas arrêter d’étudier. J’ai actuellement besoin de travailler pour gagner ma vie bien sûr, mais je n’ai pas l’intention pour autant de relâcher les efforts ; je souhaite en effet continuer à progresser et je pense pouvoir y arriver par l’intermédiaire, notamment, de la formation continue. "
 
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◄ Question N°48 - Entretien d'embauche : Étiez-vous impliqué(e) dans la vie associative de votre établissement ?

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Étiez-vous impliqué(e) dans la vie associative de votre établissement ?

En général, lorsque la réponse est affirmative, vous en parlez spontanément avant même que le recruteur ne vous pose la question… et c’est tant mieux, car c’est une information qui ne peut que vous servir. « S’impliquer dans la vie associative, c’est aussi savoir faire preuve de solidarité et aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises insistent justement
sur cette qualité », souligne Michel Claudin, directeur du cabinet Antarès Informatique. N’oubliez donc pas d’indiquer quelles étaient vos responsabilités au sein du bureau des élèves, du bureau des sports ou de la junior entreprise. Le recruteur pourra en déduire que vous possédez l’esprit d’équipe, une certaine maturité, de bonnes facultés relationnelles, un certain sens du leadership (surtout si vous étiez président), l’envie d’entreprendre, etc.

Les réponses à éviter

Solitaire
► " Non, je n’aimais pas rester à l’école en dehors des heures des cours. "
Obstiné
► " Ma priorité, c’était avant tout de réussir les examens alors je n’avais pas trop de temps à consacrer au BDE ".

Des réponses possibles

Vous avez participé
► " Il suffit de raconter ce que vous avez fait ".
Vous n’avez pas participé
► " Entre mes cours et mon job d’étudiant, je n’ai pas eu tellement de temps à consacrer à la vie associative de l’école. Je n’ai donc pas voulu assumer de responsabilités au sein du BDE, mais je participais volontiers aux différentes activités organisées. "
► " Je fais déjà partie d’une association dans mon quartier qui propose un soutien scolaire aux élèves en difficulté. Comme cette activité m’occupe déjà deux soirs par semaine, je n’ai pas voulu assumer, en plus, de responsabilités au niveau du BDE de l’école. "
► " Tout en préparant mon diplôme d’ingénieur, j’ai également passé des diplômes universitaires. Ce double cursus a beaucoup élargi mon horizon sur le plan relationnel car je fréquentais des étudiants d’origines diverses mais cela ne m’a pas lais ".
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◄ Question N°49 - Entretien d'embauche : Comment avez-vous financé vos études ?

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Comment avez-vous financé vos études ?

Pour un recruteur, l’autonomie et la débrouillardise dont vous avez fait preuve pour financer vos études sont toujours très bien perçues. Dans l’ordre, figurent d’abord les jobs étudiants pratiqués les week-ends, le soir ou la journée en dehors des heures de cours ou encore pendant les vacances : pas de doute, vous connaissez déjà la valeur de l’investissement personnel dans un projet puisque vous avez dû fournir un effort pour suivre vos études. Vient ensuite le prêt bancaire au travers duquel vous acceptez d’être responsable de votre avenir. Si vous avez choisi l’une ou l’autre de ces solutions, les recruteurs considèrent que vous avez appris à gérer un budget et surtout à vous débrouiller par vousmême.
« Pour un jeune diplômé qui a eu la vie trop facile, lorsqu’un problème survient dans l’entreprise, cela peut devenir une véritable catastrophe », n’hésite pas à affirmer un recruteur. Mettez donc l’accent sur vos petits boulots, même si concrètement ce ne sont pas quelques séances de baby-sitting qui ont financé vos cinq années d’études supérieures !

Les réponses à éviter

Fils à papa
► " Je n’ai rien financé du tout puisque ce sont mes parents qui ont payé. "
Sam Suffit
► " La formation que j’ai suivie était gratuite. Il n’y avait donc rien à financer. "

Des réponses possibles

► " Les études à l’université ne coûtent pas excessivement cher. Mes parents me connaient un peu d’argent, mais comme je n’habitais plus chez eux, j’ai dû quand même travailler pour participer aux frais. "
► " À l’université, les études ne sont pas très onéreuses, mais comme on a du temps libre, j’ai toujours travaillé en parallèle. L’argent gagné m’a permis notamment d’acheter des livres de cours et de payer chaque année mon inscription à la fac. "
► " L’emploi du temps à l’école ne laissait pas beaucoup de place pour travailler à côté. C’est donc pendant les vacances que je pouvais gagner un peu d’argent de poche que je mettais de côté pour toute l’année scolaire. "
► " En accord avec mes parents, j’ai contracté un prêt étudiant que je devrai donc rembourser dès que j’occuperai mon premier poste. "
 
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